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Gd-009
Surface définie paramétriquement.
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Gd-010
Surface correspondant à la sphère avec orthogonalité des éléments.
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Gd-011
Modèle de l'emplacement des centres des cordes d'une courbe gauche.
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Gd-012
Modèle de l'interface du réseau parabolique de rayons.
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Gd-013
Hyperboloϊde double.
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Gd-014
Modèle de la surface \( z=x\ y\ \cdot \frac{x^2-y^2}{x^2+y^2} \), pour son point zéro singulier \( \frac{\delta^2\ z}{\delta\ x\ \delta\ y}\neq \frac{\delta^2\ z}{\delta\ y\ \delta\ x} \).
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Gd-015
Modèle d'une surface du 3ème degré, pour expliquer le comportement d'une surface courbe à proximité d'un point parabolique.
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Gd-016
Cône sinusoïdale à trois saillies et creux, avec sections horizontales. Cette surface est engendrée par une droite qui glisse sur une courbe sinusoïdale enroulée sur un cylindre et qui passe constamment par un même point situé sur l’axe de ce cylindre.
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Gd-017
Surface engendrée par une section plane d'un cylindre qui roule sur un cylindre.
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Gd-018
Graphe de la fonction \(z=\frac{x^2y^2}{(x^2+y^2)^{3/2}}\).
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Gd-App-001
Surface hélicoidale applicable sur l'éllipsoide de révolution, version en bois.
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Gd-App-002
Surface hélicoidale applicable sur l'éllipsoide de révolution.
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Gd-App-003
Ellipsoïde de révolution, modèle pour aller avec le modèle numéro 236 (VIII, 7b).
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Gd-App-004
Ellipsoïde de révolution, modèle pour aller avec le modèle numéro 236 (VIII, 7b), version en bois.
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Gd-App-005
Ellipsoïde de révolution, version en laiton flexible qui s'applique sur le modèle numéro 235 (VIII, 7c).
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Gd-App-006
Modèle d'une surface développable sur le paraboloïde de révolution de 12ème ordre et 10ème classe.
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Gd-App-007
Surface applicable sur le paraboloïde de révolution.
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Gd-App-008
Surface sur laquelle l'ellipsoïde est représenté de manière conforme par des normales parallèles.
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Gd-Can-001
Surface canal hélicoϊdale et lignes de courbure.
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Gd-Can-002
Surface spirale développée de sphère.
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Gd-Can-003
Surface spirale lieu de cercles.
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Gd-Can-004
Surface canal engendrée par une sphère de rayon constant.
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Gd-Cau-001
Surface du 12ème degré. Surface caustique des rayons partant d'une ligne lumineuse après leur réflexion sur un cylindre dont l'axe touche la ligne.
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Gd-Cau-002
Enveloppe de normales d'un conoïde de Plϋcker.
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Gd-Cau-003
Enveloppe de normales d'un paraboloïde.
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Gd-Cau-004
Enveloppe de normales d'un hyperboloïde.
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Gd-Cau-005
Enveloppe de normales d'un ellipsoïde.
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Gd-Cau-006
Surface normales aux droites dont 3 points, de distances mutuelles constantes, se meuvent dans 3 plans rectangulaires.
\(a=16, b=10, c=0\)
\(K=-1\)
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Gd-Cau-007
Surface normales aux droites dont 3 points, de distances mutuelles constantes, se meuvent dans 3 plans rectangulaires.
\(a=16, b=10, c=0\)
\(K=3\)
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Gd-Cau-008
Surface normales aux droites dont 3 points, de distances mutuelles constantes, se meuvent dans 3 plans rectangulaires.
\(a=16, b=10, c=0\)
\(K=\frac{b}{3}=\frac{10}{3}\)
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Gd-Cau-009
Surface normales aux droites dont 3 points, de distances mutuelles constantes, se meuvent dans 3 plans rectangulaires.
\(a=16, b=10, c=0\)
\(K=5,4\)
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Gd-Cau-010
Surface normales aux droites dont 3 points, de distances mutuelles constantes, se meuvent dans 3 plans rectangulaires.
\(a=16, b=10, c=0\)
\(K=8\)
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Gd-Cau-011
Surface normales aux droites dont 3 points, de distances mutuelles constantes, se meuvent dans 3 plans rectangulaires.
\(a=16, b=10, c=0\)
\(K=\frac{c}{3}=0\)
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Gd-Cau-012
Enveloppe des normales d'une structure rayonnée, qui a une parenté collinéenne avec la surface du centre de courbure du paraboloïde elliptique.
Les deux enveloppes de la surface sont séparées, voir modèle n°118 I, 2a.
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Gd-Cau-013
Enveloppe des normales d'une structure rayonnée, qui a une parenté collinéenne avec la surface du centre de courbure du paraboloïde elliptique.
Les deux enveloppes de la surface sont séparées, voir modèle n°119 I, 2a.
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Gd-Cau-014
Enveloppe des normales d'une structure rayonnée, qui a une parenté collinéenne avec la surface du centre de courbure du paraboloïde elliptique.
Les deux enveloppes de la surface réunies (voir modèles n°118 et 119 I, 2a).
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Gd-Cau-015
Enveloppe des normales de l'hyperboloïde à une feuille.
Les deux enveloppes de la surface sont séparées, voir modèle n°122 I, 3a.
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Gd-Cau-016
Enveloppe des normales de l'hyperboloïde à une feuille.
Les deux enveloppes de la surface sont séparées, voir modèle n°121 I, 3a.
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Gd-Cau-017
Enveloppe des normales de l'hyperboloïde à une feuille.
Les deux manteaux réunis.
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Gd-Cau-018
Ce modèle fait partie d'une série de six objets représentants les fronts d'ondes de Darboux. Il s'agit des reproductions de modèles en bois exécutés par Joseph Caron en 1914 (actuellement exposés dans la Maison Poincaré). Ce sont les solutions d'un problème résolu par Darboux en 1881 dans un article portant sur la notion de front d'onde, autrement dit sur les surfaces parallèles à une surface donnée. Darboux y énonce le théorème suivant : "Si une droit se meut de telle manière que trois de ses points soient toujours situés dans trois plans rectangulaires, elle demeurera, dans toutes ses positions, normale à une surface fixe, qui sera algébrique et de quatrième classe et dont les lignes de courbure seront aussi algébriques."
La définition des modèles est données par Caron sous forme d'exercice : "Surface normale aux droites dont trois points de distances constantes se meuvent dans trois plans rectangulaires."
Les modèles exécutés par Caron sont choisis de telle sorte qu'entre deux modèles consécutifs il y ait une transition générique appelée aujourd'hui "métamorphose", et que toutes les métamorphoses du front d'onde étudié soient balayées.
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Gd-Cau-019
Ce modèle fait partie d'une série de six objets représentants les fronts d'ondes de Darboux. Il s'agit des reproductions de modèles en bois exécutés par Joseph Caron en 1914 (actuellement exposés dans la Maison Poincaré). Ce sont les solutions d'un problème résolu par Darboux en 1881 dans un article portant sur la notion de front d'onde, autrement dit sur les surfaces parallèles à une surface donnée. Darboux y énonce le théorème suivant : "Si une droit se meut de telle manière que trois de ses points soient toujours situés dans trois plans rectangulaires, elle demeurera, dans toutes ses positions, normale à une surface fixe, qui sera algébrique et de quatrième classe et dont les lignes de courbure seront aussi algébriques."
La définition des modèles est données par Caron sous forme d'exercice : "Surface normale aux droites dont trois points de distances constantes se meuvent dans trois plans rectangulaires."
Les modèles exécutés par Caron sont choisis de telle sorte qu'entre deux modèles consécutifs il y ait une transition générique appelée aujourd'hui "métamorphose", et que toutes les métamorphoses du front d'onde étudié soient balayées.
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Gd-Cau-020
Ce modèle fait partie d'une série de six objets représentants les fronts d'ondes de Darboux. Il s'agit des reproductions de modèles en bois exécutés par Joseph Caron en 1914 (actuellement exposés dans la Maison Poincaré). Ce sont les solutions d'un problème résolu par Darboux en 1881 dans un article portant sur la notion de front d'onde, autrement dit sur les surfaces parallèles à une surface donnée. Darboux y énonce le théorème suivant : "Si une droit se meut de telle manière que trois de ses points soient toujours situés dans trois plans rectangulaires, elle demeurera, dans toutes ses positions, normale à une surface fixe, qui sera algébrique et de quatrième classe et dont les lignes de courbure seront aussi algébriques."
La définition des modèles est données par Caron sous forme d'exercice : "Surface normale aux droites dont trois points de distances constantes se meuvent dans trois plans rectangulaires."
Les modèles exécutés par Caron sont choisis de telle sorte qu'entre deux modèles consécutifs il y ait une transition générique appelée aujourd'hui "métamorphose", et que toutes les métamorphoses du front d'onde étudié soient balayées.
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Gd-Cau-021
Ce modèle fait partie d'une série de six objets représentants les fronts d'ondes de Darboux. Il s'agit des reproductions de modèles en bois exécutés par Joseph Caron en 1914 (actuellement exposés dans la Maison Poincaré). Ce sont les solutions d'un problème résolu par Darboux en 1881 dans un article portant sur la notion de front d'onde, autrement dit sur les surfaces parallèles à une surface donnée. Darboux y énonce le théorème suivant : "Si une droit se meut de telle manière que trois de ses points soient toujours situés dans trois plans rectangulaires, elle demeurera, dans toutes ses positions, normale à une surface fixe, qui sera algébrique et de quatrième classe et dont les lignes de courbure seront aussi algébriques."
La définition des modèles est données par Caron sous forme d'exercice : "Surface normale aux droites dont trois points de distances constantes se meuvent dans trois plans rectangulaires."
Les modèles exécutés par Caron sont choisis de telle sorte qu'entre deux modèles consécutifs il y ait une transition générique appelée aujourd'hui "métamorphose", et que toutes les métamorphoses du front d'onde étudié soient balayées.
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Gd-Cau-022
Ce modèle fait partie d'une série de six objets représentants les fronts d'ondes de Darboux. Il s'agit des reproductions de modèles en bois exécutés par Joseph Caron en 1914 (actuellement exposés dans la Maison Poincaré). Ce sont les solutions d'un problème résolu par Darboux en 1881 dans un article portant sur la notion de front d'onde, autrement dit sur les surfaces parallèles à une surface donnée. Darboux y énonce le théorème suivant : "Si une droit se meut de telle manière que trois de ses points soient toujours situés dans trois plans rectangulaires, elle demeurera, dans toutes ses positions, normale à une surface fixe, qui sera algébrique et de quatrième classe et dont les lignes de courbure seront aussi algébriques."
La définition des modèles est données par Caron sous forme d'exercice : "Surface normale aux droites dont trois points de distances constantes se meuvent dans trois plans rectangulaires."
Les modèles exécutés par Caron sont choisis de telle sorte qu'entre deux modèles consécutifs il y ait une transition générique appelée aujourd'hui "métamorphose", et que toutes les métamorphoses du front d'onde étudié soient balayées.
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Gd-Cau-023
Ce modèle fait partie d'une série de six objets représentants les fronts d'ondes de Darboux. Il s'agit des reproductions de modèles en bois exécutés par Joseph Caron en 1914 (actuellement exposés dans la Maison Poincaré). Ce sont les solutions d'un problème résolu par Darboux en 1881 dans un article portant sur la notion de front d'onde, autrement dit sur les surfaces parallèles à une surface donnée. Darboux y énonce le théorème suivant : "Si une droit se meut de telle manière que trois de ses points soient toujours situés dans trois plans rectangulaires, elle demeurera, dans toutes ses positions, normale à une surface fixe, qui sera algébrique et de quatrième classe et dont les lignes de courbure seront aussi algébriques."
La définition des modèles est données par Caron sous forme d'exercice : "Surface normale aux droites dont trois points de distances constantes se meuvent dans trois plans rectangulaires."
Les modèles exécutés par Caron sont choisis de telle sorte qu'entre deux modèles consécutifs il y ait une transition générique appelée aujourd'hui "métamorphose", et que toutes les métamorphoses du front d'onde étudié soient balayées.
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Gd-Cau-024
Enveloppe des normales au paraboloïde.
\(y^2-z^1=2px\)
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Gd-Dev-001
Hélicoïde développable. Pour \( \varepsilon = \sigma \) ; la section normale à l'axe est une développante commune de cercle.
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Gd-Dev-002
Hélicoïde développable. Pour \( \varepsilon = \sigma \) ; la section normale à l'axe est une développante commune de cercle.
Version en carton du modèle n°127 (XX, 1a).
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Gd-Reg-001
Helicoïde développable.
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Gd-Reg-002
Surface hélicoïdale fermée droite, dans laquelle les génératrices rencontrent l'axe de l'hélice perpendiculairement.
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Gd-Reg-004
Surface réglée : deux conoïdes à base ellipsoïde.
Modèle inspiré de ceux réalisés dans les années 1830 par Théodore Olivier, géomètre professeur à l'École Centrale des Arts et Manufactures. Ses modèles furent fabriqués par deux constructeurs parisiens successifs : d'abord par l'entreprise "Pixii Père et Fils" (Hippolyte Pixii), qui devint "Fabre de Lagrange" dans les années 1870.
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Gd-Reg-005
Hyperboloïde à une feuille et son cône asymptote.
Modèle inspiré de ceux réalisés dans les années 1830 par Théodore Olivier, géomètre professeur à l'École Centrale des Arts et Manufactures. Ses modèles furent fabriqués par deux constructeurs parisiens successifs : d'abord par l'entreprise "Pixii Père et Fils" (Hippolyte Pixii), qui devint "Fabre de Lagrange" dans les années 1870.