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Cu-Reg-006 Surface réglée de Cayley avec points cuspidaux situés dans la partie finie.
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Cu-Reg-007 Conoïde de Plüker.
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Cy-Dar-001 Reprenant la question des cyclides en 1864, Gaston Darboux introduit une classe remarquable de surfaces du 4ème degré, appelées depuis cyclides de Darboux, qui contient en particulier les cyclides de Dupin. Ces surfaces jouissent de la propriété de contenir six familles de cercles, et même dix si on compte les cercles imaginaires. Les cyclides de Dupin correspondent au cas où certaines familles coïncident pour n’en former plus que quatre.
Cette série de trois modèles représentent la même cyclide de Darboux avec deux familles de cercles différentes à chaque fois, ce qui fait bien six familles au total.
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Cy-Dar-002 Reprenant la question des cyclides en 1864, Gaston Darboux introduit une classe remarquable de surfaces du 4ème degré, appelées depuis cyclides de Darboux, qui contient en particulier les cyclides de Dupin. Ces surfaces jouissent de la propriété de contenir six familles de cercles, et même dix si on compte les cercles imaginaires. Les cyclides de Dupin correspondent au cas où certaines familles coïncident pour n’en former plus que quatre.
Cette série de trois modèles représentent la même cyclide de Darboux avec deux familles de cercles différentes à chaque fois, ce qui fait bien six familles au total.
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Cy-Dar-003 Reprenant la question des cyclides en 1864, Gaston Darboux introduit une classe remarquable de surfaces du 4ème degré, appelées depuis cyclides de Darboux, qui contient en particulier les cyclides de Dupin. Ces surfaces jouissent de la propriété de contenir six familles de cercles, et même dix si on compte les cercles imaginaires. Les cyclides de Dupin correspondent au cas où certaines familles coïncident pour n’en former plus que quatre.
Cette série de trois modèles représentent la même cyclide de Darboux avec deux familles de cercles différentes à chaque fois, ce qui fait bien six familles au total.
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Cy-Dar-004 Système triplement orthogonal.
Un système triplement orthogonal est formé de trois familles à un paramètre de surfaces, telles que chaque surface d'une famille coupe orthogonalement les surfaces des deux autres familles. Autrement dit, en chaque point de l'espace où trois surfaces se rencontrent, les trois plans tangents forment un trièdre trirectangle.
Ce modèle est le système triple de Lamé, découvert par Gabriel Lamé en 1833. Il est constitué de quadriques homofocales. En chaque point se rencontrent orthogonalement un ellipsoïde, un hyperboloïde à une nappe et un hyperboloïde à deux nappes.
L'un des intérêts des systèmes triplement orthogonaux tient au fait que deux familles du système découpent sur une surface de la troisième famille le réseau de ses lignes de courbure, autrement dit des courbes le long desquelles la courbure de la surface reste constamment maximale ou minimale.
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Cy-Dar-005 Système triplement orthogonal.
Un système triplement orthogonal est formé de trois familles à un paramètre de surfaces, telles que chaque surface d'une famille coupe orthogonalement les surfaces des deux autres familles. Autrement dit, en chaque point de l'espace où trois surfaces se rencontrent, les trois plans tangents forment un trièdre trirectangle.
Ce modèle est le système triple de Serret, il illustre le système découvert par Joseph-Alfred Serret en 1847. Il est constitué d'une famille de paraboloïdes hyperboliques et de deux familles de surfaces du 4ème degré.
L'un des intérêts des systèmes triplement orthogonaux tient au fait que deux familles du système découpent sur une surface de la troisième famille le réseau de ses lignes de courbure, autrement dit des courbes le long desquelles la courbure de la surface reste constamment maximale ou minimale.
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Cy-Dar-006 Système triplement orthogonal.
Un système triplement orthogonal est formé de trois familles à un paramètre de surfaces, telles que chaque surface d'une famille coupe orthogonalement les surfaces des deux autres familles. Autrement dit, en chaque point de l'espace où trois surfaces se rencontrent, les trois plans tangents forment un trièdre trirectangle.
Ce modèle est le système triple de Darboux, il fait le lien avec ses recherches sur les cyclides. Il s'agit en effet du système triplement orthogonal de cyclides de Darboux tel qu'il est défini dans la thèse de Darboux.
L'un des intérêts des systèmes triplement orthogonaux tient au fait que deux familles du système découpent sur une surface de la troisième famille le réseau de ses lignes de courbure, autrement dit des courbes le long desquelles la courbure de la surface reste constamment maximale ou minimale.
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Cy-Dup-001 Cyclide du 4° degré noyau intérieur.
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Cy-Dup-002 Cyclide du 4° degré noyau extérieur.
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Cy-Dup-003 Cyclide du 4° degré collier ouvert.
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Cy-Dup-004 Cyclide du 4° degré collier nul.
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Cy-Dup-005 Trois types de cyclides pour lesquels les lignes de courbure sont des cercles et des courbes sphériques du 4ème ordre.
Cyclide avec un noeud uniplanaire obtenu en contractant les 3 noeuds du n°93 (X, 8b).
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Cy-Dup-006 Cyclide de Dupin avec les courbes d'intersection de plusieurs plans en double contact.
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Cy-Dup-007 Trois types de cyclides pour lesquels les lignes de courbure sont des cercles et des courbes sphériques du 4ème ordre.
Cyclide avec 2 points doubles imaginaires combinés et un réel.
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Cy-Dup-008 Cyclide parabolique avec quatre nœuds imaginaires.
(Supplément aux cyclides de Dupin série V, n°5.)
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Cy-Dup-009 Cyclide de Dupin.
Cyclide parabolique avec deux points doubles réels ; s'étend à l'infini avec une enveloppe de surface non appariée.
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Cy-Dup-010 Cyclide de Dupin.
Horncyclide ; deux points doubles réels unissent deux enveloppes de surface éloignées l'une de l'autre.
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Cy-Dup-011 Cyclides de Dupin. Noyau seul et noyau coupé.
- a = noyau seul
- b, c = noyau coupé
- d = socle
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Cy-Dup-012 Cyclide engendrée par les cercles d’Yvon Villarceau.
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Cy-Dup-013 Trois types de cyclides pour lesquels les lignes de courbure sont des cercles et des courbes sphériques du 4ème ordre.
Cyclide avec 2 points doubles imaginaires combinés.
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Cy-Dup-014 Cyclide 4ème degré.
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Cy-Dup-015 \((x^2+y^2+z^2)^2+11z(x^2+y^2+z^2)+30x^2+36z^2+36z=0\)
Les sections de la surface par les plans tangents aux cônes :
- A \((z-6)^2+24(y^2-4x^2)=0\)
- B \((5z+12)^2+48(y^2-\frac{3}{2}x^2)=0\)
- C \((7z+18)^2+72(y^2-\frac{2}{3}x^2)=0\)
se décomposent, chacun d’elles, en 2 circonférences.
On n’a figuré que les sections par les plans tangents suivant les génératrices principales de chaque cône : A (brun-orange), B (blanc-jaune), C (bleu pâle-vert).
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Cy-Dup-016 Cyclide de Dupin avec les courbes d'intersection de plusieurs plans en double contact.
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Cy-Dup-017 Cyclide de Dupin.
Cyclide en anneau avec points doubles imaginaires.
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Cy-Dup-018 Cyclide
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Cy-Dup-019 Cyclide du 3ème degré.
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Cy-Dup-020 L'inversion de centre \( 0 \) et de rapport \( 1 \) est une transformation de l'espace qui échange tout point distinct de \( 0 \) avec un point de la même demi-droite issue de \( 0 \) et dont la distance à l'origine est l'inverse de celle du point de départ. Cette transformation jouit de la propriété de transformer les cercles en cercles, à condition toutefois de considérer les droites comme des cercles de rayon infini. Il en résulte que l'inverse d'un tore contient, comme le tore, quatre familles de cercles. Une telle surface s'appelle cyclide de Dupin.
Elles ont été découvertes par Charles Dupin en 1822. Selon la position du centre d'inversion par rapport au tore, l'aspect de la cyclide varie. Pour ce modèle (cyclide parabolique), le centre d'inversion est sur le tore.
Les cyclides de Dupin, comme les tores, sont des surfaces du 4ème degré.
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Cy-Dup-021 L'inversion de centre \( 0 \) et de rapport \( 1 \) est une transformation de l'espace qui échange tout point distinct de \( 0 \) avec un point de la même demi-droite issue de \( 0 \) et dont la distance à l'origine est l'inverse de celle du point de départ. Cette transformation jouit de la propriété de transformer les cercles en cercles, à condition toutefois de considérer les droites comme des cercles de rayon infini. Il en résulte que l'inverse d'un tore contient, comme le tore, quatre familles de cercles. Une telle surface s'appelle cyclide de Dupin.
Elles ont été découvertes par Charles Dupin en 1822. Selon la position du centre d'inversion par rapport au tore, l'aspect de la cyclide varie. Pour ce modèle (cyclide croisée interne), le tore est croisé, autrement dit, le cercle générateur coupe l'axe de révolution, et le centre d'inversion est à l'extérieur du tore.
Les cyclides de Dupin, comme les tores, sont des surfaces du 4ème degré.
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Cy-Dup-025 Cyclide du 3ème degré : noyau.
\(z(x^2+y^2+z^2-5z+4)-x^2-4y^2=0\)
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Cy-Dup-026 Cyclide du 3ème degré : collier ouvert.
\(z(x^2+y^2+z^2-10z+16)-8y^2=0\)
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Cy-Dup-027 Cyclides du 3ème degré : collier nul.
\(z(x^2+y^2+z^2-2z+1)-x^2=0\)
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Cy-Dup-028 Cyclide de 3ème degré.
\(z(x^2+y^2+z^2)+2(x^2-y^2)-16z=0\)
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Cy-Dup-030 Reprenant la question des cyclides en 1864, Gaston Darboux introduit une classe remarquable de surfaces du quatrième degré, appelées depuis cyclides de Darboux, qui contient en particulier les cyclides de Dupin. Ces surfaces jouissent de la propriété de contenir six familles de cercles, et même dix si on compte les cercles imaginaires. Les cyclides de Dupin correspondent au cas où certaines familles coïncident pour n’en former plus que quatre.
Cette série de neuf modèles en bois dûs à Caron, représente différentes cyclides de Darboux. La partie en bois correspond au huitième de la surface située dans l’octant matérialisé par le trièdre sur lequel figure l’équation. On reconstitue l’ensemble de la surface au moyen des symétries par rapport aux plans du trièdre.
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Cy-Dup-031 Reprenant la question des cyclides en 1864, Gaston Darboux introduit une classe remarquable de surfaces du quatrième degré, appelées depuis cyclides de Darboux, qui contient en particulier les cyclides de Dupin. Ces surfaces jouissent de la propriété de contenir six familles de cercles, et même dix si on compte les cercles imaginaires. Les cyclides de Dupin correspondent au cas où certaines familles coïncident pour n’en former plus que quatre.
Cette série de neuf modèles en bois dûs à Caron, représente différentes cyclides de Darboux. La partie en bois correspond au huitième de la surface située dans l’octant matérialisé par le trièdre sur lequel figure l’équation. On reconstitue l’ensemble de la surface au moyen des symétries par rapport aux plans du trièdre.
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Cy-Dup-032 Reprenant la question des cyclides en 1864, Gaston Darboux introduit une classe remarquable de surfaces du quatrième degré, appelées depuis cyclides de Darboux, qui contient en particulier les cyclides de Dupin. Ces surfaces jouissent de la propriété de contenir six familles de cercles, et même dix si on compte les cercles imaginaires. Les cyclides de Dupin correspondent au cas où certaines familles coïncident pour n’en former plus que quatre.
Cette série de neuf modèles en bois dûs à Caron, représente différentes cyclides de Darboux. La partie en bois correspond au huitième de la surface située dans l’octant matérialisé par le trièdre sur lequel figure l’équation. On reconstitue l’ensemble de la surface au moyen des symétries par rapport aux plans du trièdre.
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Cy-Dup-033 Reprenant la question des cyclides en 1864, Gaston Darboux introduit une classe remarquable de surfaces du quatrième degré, appelées depuis cyclides de Darboux, qui contient en particulier les cyclides de Dupin. Ces surfaces jouissent de la propriété de contenir six familles de cercles, et même dix si on compte les cercles imaginaires. Les cyclides de Dupin correspondent au cas où certaines familles coïncident pour n’en former plus que quatre.
Cette série de neuf modèles en bois dûs à Caron, représente différentes cyclides de Darboux. La partie en bois correspond au huitième de la surface située dans l’octant matérialisé par le trièdre sur lequel figure l’équation. On reconstitue l’ensemble de la surface au moyen des symétries par rapport aux plans du trièdre.
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Cy-Dup-034 Reprenant la question des cyclides en 1864, Gaston Darboux introduit une classe remarquable de surfaces du quatrième degré, appelées depuis cyclides de Darboux, qui contient en particulier les cyclides de Dupin. Ces surfaces jouissent de la propriété de contenir six familles de cercles, et même dix si on compte les cercles imaginaires. Les cyclides de Dupin correspondent au cas où certaines familles coïncident pour n’en former plus que quatre.
Cette série de neuf modèles en bois dûs à Caron, représente différentes cyclides de Darboux. La partie en bois correspond au huitième de la surface située dans l’octant matérialisé par le trièdre sur lequel figure l’équation. On reconstitue l’ensemble de la surface au moyen des symétries par rapport aux plans du trièdre.
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Cy-Dup-035 Reprenant la question des cyclides en 1864, Gaston Darboux introduit une classe remarquable de surfaces du quatrième degré, appelées depuis cyclides de Darboux, qui contient en particulier les cyclides de Dupin. Ces surfaces jouissent de la propriété de contenir six familles de cercles, et même dix si on compte les cercles imaginaires. Les cyclides de Dupin correspondent au cas où certaines familles coïncident pour n’en former plus que quatre.
Cette série de neuf modèles en bois dûs à Caron, représente différentes cyclides de Darboux. La partie en bois correspond au huitième de la surface située dans l’octant matérialisé par le trièdre sur lequel figure l’équation. On reconstitue l’ensemble de la surface au moyen des symétries par rapport aux plans du trièdre.
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Cy-Dup-036 Reprenant la question des cyclides en 1864, Gaston Darboux introduit une classe remarquable de surfaces du quatrième degré, appelées depuis cyclides de Darboux, qui contient en particulier les cyclides de Dupin. Ces surfaces jouissent de la propriété de contenir six familles de cercles, et même dix si on compte les cercles imaginaires. Les cyclides de Dupin correspondent au cas où certaines familles coïncident pour n’en former plus que quatre.
Cette série de neuf modèles en bois dûs à Caron, représente différentes cyclides de Darboux. La partie en bois correspond au huitième de la surface située dans l’octant matérialisé par le trièdre sur lequel figure l’équation. On reconstitue l’ensemble de la surface au moyen des symétries par rapport aux plans du trièdre.
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Cy-Dup-037 Reprenant la question des cyclides en 1864, Gaston Darboux introduit une classe remarquable de surfaces du quatrième degré, appelées depuis cyclides de Darboux, qui contient en particulier les cyclides de Dupin. Ces surfaces jouissent de la propriété de contenir six familles de cercles, et même dix si on compte les cercles imaginaires. Les cyclides de Dupin correspondent au cas où certaines familles coïncident pour n’en former plus que quatre.
Cette série de neuf modèles en bois dûs à Caron, représente différentes cyclides de Darboux. La partie en bois correspond au huitième de la surface située dans l’octant matérialisé par le trièdre sur lequel figure l’équation. On reconstitue l’ensemble de la surface au moyen des symétries par rapport aux plans du trièdre.
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Cy-Dup-038 Reprenant la question des cyclides en 1864, Gaston Darboux introduit une classe remarquable de surfaces du quatrième degré, appelées depuis cyclides de Darboux, qui contient en particulier les cyclides de Dupin. Ces surfaces jouissent de la propriété de contenir six familles de cercles, et même dix si on compte les cercles imaginaires. Les cyclides de Dupin correspondent au cas où certaines familles coïncident pour n’en former plus que quatre.
Cette série de neuf modèles en bois dûs à Caron, représente différentes cyclides de Darboux. La partie en bois correspond au huitième de la surface située dans l’octant matérialisé par le trièdre sur lequel figure l’équation. On reconstitue l’ensemble de la surface au moyen des symétries par rapport aux plans du trièdre.
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Cy-Tor-001 Pénétration bitangente de la sphère et du tore (arrachement suivant deux cercles).
Tore arraché et solide commun.
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Cy-Tor-002 Pénétration bitangente de la sphère et du tore (arrachement suivant deux cercles).
Sphère arrachée.
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Cy-Tor-003 Cyclide. Cercles de Villarceau.
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Gd-002 Surface engendrée par une section plane d'un cylindre qui roule sur un cylindre.
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Gd-003 Surface engendrée par une courbe d'un cylindre qui roule sur un plan.
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Gd-004 Surface algébrique rationnelle du 8ème degré.
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Gd-005 Surface engendrée par une section plane de cylindre qui roule sur un plan.
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Gd-006 Surface engendrée par une courbe d'un cylindre qui roule sur un plan.
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Gd-007 Surface définie paramétriquement.
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Gd-008 Surface définie paramétriquement.