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Plateau de jeu #1 Plateau de jeu inconnu.
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Plateau de jeu #2 Plateau de jeu inconnu.
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Pm-001 Amplitude de Jacobi. Fonction elliptique \( \varphi=am (u, k) \).
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Pm-002 Surface de révolution obtenue par rotation de la ligne sinusoïdale \( z=\cos r \). Le modèle explique le comportement des courbes asymptotes à proximité de la courbe parabolique. En général, les courbes asymptotes se posent sur la courbe parabolique avec des pics, et ce n'est que lorsque cette dernière est la courbe de contact d'un plan doublement tangent qu'elle est touchée par les courbes asymptotes. L'intégrale apparaissant dans l'expression de l'arc a été évaluée à l'aide de la méthode d'approximation gaussienne. Les cercles tracés forment la courbe parabolique.
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Pm-003 Horoptère.
La théorie de la courbe de l'espace cubique trouve une application intéressante en optique physiologique. Si l'on regarde un point de l'espace avec les deux yeux, les images de ce point projetées sur les deux rétines se réunissent en une seule sensation ; vous voyez juste le point. Parmi les autres points de l'espace, avec cette position particulière de l'œil, seuls certains points sont vus isolément, tandis que les autres sont vus deux fois, ce dont nous ne sommes généralement pas conscients. L'emplacement des points dans l'espace qui sont simplement vus avec une certaine position de l'œil s'appelle l'horoptère appartenant à cette position de l'œil ; c'est une ellipse cubique reposant sur un cylindre circulaire et ayant un axe de symétrie. Le présent modèle est la représentation réduite d'un cas réel. Deux sphères sont attachées à un pilier noir, qui représentent les yeux ; une troisième sphère représente le point fixe dans l'espace et les tiges le reliant aux deux premières sphères les lignes de visée ; ces pièces sont en cuivre et sont jaune rougeâtre. La courbe de l'horoptère est en laiton (jaune clair), son asymptote et son axe de symétrie sont en nickel (blanc). Les positions du plan médian et du plan frontal sont indiquées par les deux traits blancs forts sur le socle, et la position du plan horizontal passant par les points centraux par le petit anneau noir sur l'asymptote. Pour souligner la pente de l'asymptote, sa projection orthogonale est dessinée comme une fine ligne blanche sur le socle.
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Pm-Cha-001 Transmission de la chaleur dans le temps sur une barre.
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Pm-Cha-002 Transmission de la chaleur dans le temps sur une barre.
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Pm-Cha-003 Transmission de la chaleur dans le temps sur un anneau.
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Pm-Cnv-001 Construction géographique de l'équation de trigonométrie sphérique : \( \text{sin }z=\text{sin }y \text{ sin }l +\text{ cos } y \text{ cos }l \text{ cos }x \) et plan-relief de cette surface dans le cas de \(l=48° 50' \)
Tableau des hauteurs du soleil au-dessus de l'horizon de Paris, en fonction de la déclinaison \( y \) et de l'heure (\( x \) angle horaire).
Ce plan-relief représente le nivellement de la carte céleste par rapport à l'horizon de Paris. Surface à gradins.
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Pm-Cnv-002 Surface cosinusoïdale donnée par la formule : \( \text{cos }x+\text{cos }y+\text{cos }z=0 \)
Surface à gradins.
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Pm-Cnv-003 Surface sinusoïdale donnée par la formule : \( z=\text{sin }2x+2\text{ sin }y+\text{sin }(x+y)+10 \)
Type de surface topographique à gradins.
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Pm-Cor-001 Modèle représentant les changements de forme d'une corde vibrante (propagation d'ondes stationnaires). Le modèle montre les changements de forme de la corde vibrante au fil du temps, et ce pour la corde pincée.
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Pm-Cor-002 Modèle représentant les changements de forme d'une corde vibrante (propagation d'ondes stationnaires). Le modèle montre les changements de forme de la corde vibrante au fil du temps, et ce pour la corde pincée.
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Pm-Mec-001 Sept ciseaux de Nuremberg, deux à 8 et 6 sections et un à 4, 3 et 2 sections, ainsi que 12 broches élastiques pour connecter les ciseaux pour former le système affine plan et 12 coussinets.
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Pm-Mec-002 Union plate de ciseaux de Nuremberg en forme de triangle avec des parallèles sur un côté.
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Pm-Mec-003 Union spatiale de ciseaux de Nuremberg en 2 parties dans les bords d'un tétraèdre.
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Pm-Mec-004 Combinaison spatiale des cisailles de Nuremberg sous la forme d'un tétraèdre avec des plans parallèles à une surface.
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Pm-Mec-011 Déformation d'un corps élastique sous l'action d'une force de pression ou de cisaillement, d'après les équations de Vito Volterra.
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Pm-Mec-012 Déformation d'un corps élastique sous l'action d'une force de pression ou de cisaillement, d'après les équations de Vito Volterra.
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Pm-Mec-013 Déformation d'un corps élastique sous l'action d'une force de pression ou de cisaillement, d'après les équations de Vito Volterra.
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Pm-Mec-014 Déformation d'un corps élastique sous l'action d'une force de pression ou de cisaillement, d'après les équations de Vito Volterra.
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Pm-Mec-015 Déformation d'un corps élastique sous l'action d'une force de pression ou de cisaillement, d'après les équations de Vito Volterra.
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Pm-Mec-016 Déformation d'un corps élastique sous l'action d'une force de pression ou de cisaillement, d'après les équations de Vito Volterra.
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Pm-Mec-021 Mécanisme déformable.
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Pm-Mec-022 Mécanisme déformable.
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Pm-Mec-023 Mécanisme déformable.
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Pm-Mec-024 Mécanisme déformable.
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Pm-Mec-025 Mécanisme déformable.
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Pm-Mec-026 Mécanisme déformable.
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Pm-Mec-027 Mécanisme déformable.
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Pm-Ond-001 Surface des ondes.
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Pm-Ond-002 Surface d'onde pour un cristal optique biaxial présentée en deux octants individuels avec les lignes sphériques et ellipsoïdales et 8 ombilics.
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Pm-Ond-003 Surface d'onde pour un cristal optique uniaxial avec biréfringence positive. Une section de la sphère montre l'ellipsoïde de révolution allongé.
Le modèle ne porte pas la bonne étiquette, celle-ci correspond au modèle numéro 356 (VI, 3).
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Pm-Ond-004 Surface d'onde pour un cristal optique biaxial : manteau extérieur (décomposable le long d'une coupe principale) avec des découpes montrant le manteau intérieur.
Manteau intérieur : voir modèle numéro 358 (VI, 1b).
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Pm-Ond-005 Surface d'onde pour un cristal optique biaxial : manteau intérieur.
Manteau extérieur : voir modèle numéro 358 (VI, 1a).
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Pm-Ond-006 Surface d'onde pour un cristal optique uniaxial avec biréfringence négative. Une section de l'ellipsoïde montre la sphère qui forme avec lui la surface d'onde.
Le modèle ne porte pas la bonne étiquette, celle-ci correspond au modèle numéro 358 (VI, 1b).
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Po-001 Développement à trois dimensions de la surface latérale de l'hyperpyramide.
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Po-002 Polyèdre semi-régulier.À côté des solides d’Archimède, il existe des figures non convexes méritant elles aussi par leurs propriétés le qualificatif de “semi-réguliers”. Badoureau le premier, entreprit une recherche qui, bien qu’incomplète, le conduisit vers 1875 à la découverte d’un grand nombre de polyèdres semi-réguliers étoilés.
Certains polyèdres semi-réguliers offrent la particularité de n’avoir ni centre ni plan de symétrie. Chacun d’eux présente donc deux variétés qui, comme main droite et main gauche, ne sont pas superposables l’une à l’autre.
Cherchant à compléter les travaux de Badoureau, Jean Lesavre et Raymond Mercier ont reconnu l’existence de six corps étoilées possédant également cette propriété. Les 60 sommets de chacun de ces polyèdres se groupent cinq par cinq sur les faces d’un dodécaèdre régulier convexe, qui a été utilisé ici comme support transparent. En raison de la complexité de ces solides ils n’ont été représentés que par leurs arêtes. Pour distinguer plus facilement les faces, ces arêtes sont matérialisées par des fils de diverses couleurs.
Les faces orthoèdres, perpendiculaires à des axes de répétition de la figure, ont pour côtés des fils de même couleur :
- jaune pour les triangles équilatéraux,
- verte pour les pentagones convexes,
- rouge pour les pentagones étoilés.
Les fils bleus figurent les arêtes perpendiculaires aux axes binaires.
Les faces plagièdres, au nombre de trois par sommet et de 60 par polyèdre, sont des triangles équilatéraux ayant leurs trois côtés de couleurs différentes.
On remarquera autour de chaque sommet l’alternance des deux types de faces, en admettant que les arêtes bleues jouent le rôle de faces orthoèdres.
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Po-003 À côté des solides d’Archimède, il existe des figures non convexes méritant elles aussi par leurs propriétés le qualificatif de “semi-réguliers”. Badoureau le premier, entreprit une recherche qui, bien qu’incomplète, le conduisit vers 1875 à la découverte d’un grand nombre de polyèdres semi-réguliers étoilés.
Certains polyèdres semi-réguliers offrent la particularité de n’avoir ni centre ni plan de symétrie. Chacun d’eux présente donc deux variétés qui, comme main droite et main gauche, ne sont pas superposables l’une à l’autre.
Cherchant à compléter les travaux de Badoureau, Jean Lesavre et Raymond Mercier ont reconnu l’existence de six corps étoilées possédant également cette propriété. Les 60 sommets de chacun de ces polyèdres se groupent cinq par cinq sur les faces d’un dodécaèdre régulier convexe, qui a été utilisé ici comme support transparent. En raison de la complexité de ces solides ils n’ont été représentés que par leurs arêtes. Pour distinguer plus facilement les faces, ces arêtes sont matérialisées par des fils de diverses couleurs.
Les faces orthoèdres, perpendiculaires à des axes de répétition de la figure, ont pour côtés des fils de même couleur :
- jaune pour les triangles équilatéraux,
- verte pour les pentagones convexes,
- rouge pour les pentagones étoilés.
Les fils bleus figurent les arêtes perpendiculaires aux axes binaires.
Les faces plagièdres, au nombre de trois par sommet et de 60 par polyèdre, sont des triangles équilatéraux ayant leurs trois côtés de couleurs différentes.
On remarquera autour de chaque sommet l’alternance des deux types de faces, en admettant que les arêtes bleues jouent le rôle de faces orthoèdres.
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Po-004 À côté des solides d’Archimède, il existe des figures non convexes méritant elles aussi par leurs propriétés le qualificatif de “semi-réguliers”. Badoureau le premier, entreprit une recherche qui, bien qu’incomplète, le conduisit vers 1875 à la découverte d’un grand nombre de polyèdres semi-réguliers étoilés.
Certains polyèdres semi-réguliers offrent la particularité de n’avoir ni centre ni plan de symétrie. Chacun d’eux présente donc deux variétés qui, comme main droite et main gauche, ne sont pas superposables l’une à l’autre.
Cherchant à compléter les travaux de Badoureau, Jean Lesavre et Raymond Mercier ont reconnu l’existence de six corps étoilées possédant également cette propriété. Les 60 sommets de chacun de ces polyèdres se groupent cinq par cinq sur les faces d’un dodécaèdre régulier convexe, qui a été utilisé ici comme support transparent. En raison de la complexité de ces solides ils n’ont été représentés que par leurs arêtes. Pour distinguer plus facilement les faces, ces arêtes sont matérialisées par des fils de diverses couleurs.
Les faces orthoèdres, perpendiculaires à des axes de répétition de la figure, ont pour côtés des fils de même couleur :
- jaune pour les triangles équilatéraux,
- verte pour les pentagones convexes,
- rouge pour les pentagones étoilés.
Les fils bleus figurent les arêtes perpendiculaires aux axes binaires.
Les faces plagièdres, au nombre de trois par sommet et de 60 par polyèdre, sont des triangles équilatéraux ayant leurs trois côtés de couleurs différentes.
On remarquera autour de chaque sommet l’alternance des deux types de faces, en admettant que les arêtes bleues jouent le rôle de faces orthoèdres.
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Po-005 À côté des solides d’Archimède, il existe des figures non convexes méritant elles aussi par leurs propriétés le qualificatif de “semi-réguliers”. Badoureau le premier, entreprit une recherche qui, bien qu’incomplète, le conduisit vers 1875 à la découverte d’un grand nombre de polyèdres semi-réguliers étoilés.
Certains polyèdres semi-réguliers offrent la particularité de n’avoir ni centre ni plan de symétrie. Chacun d’eux présente donc deux variétés qui, comme main droite et main gauche, ne sont pas superposables l’une à l’autre.
Cherchant à compléter les travaux de Badoureau, Jean Lesavre et Raymond Mercier ont reconnu l’existence de six corps étoilées possédant également cette propriété. Les 60 sommets de chacun de ces polyèdres se groupent cinq par cinq sur les faces d’un dodécaèdre régulier convexe, qui a été utilisé ici comme support transparent. En raison de la complexité de ces solides ils n’ont été représentés que par leurs arêtes. Pour distinguer plus facilement les faces, ces arêtes sont matérialisées par des fils de diverses couleurs.
Les faces orthoèdres, perpendiculaires à des axes de répétition de la figure, ont pour côtés des fils de même couleur :
- jaune pour les triangles équilatéraux,
- verte pour les pentagones convexes,
- rouge pour les pentagones étoilés.
Les fils bleus figurent les arêtes perpendiculaires aux axes binaires.
Les faces plagièdres, au nombre de trois par sommet et de 60 par polyèdre, sont des triangles équilatéraux ayant leurs trois côtés de couleurs différentes.
On remarquera autour de chaque sommet l’alternance des deux types de faces, en admettant que les arêtes bleues jouent le rôle de faces orthoèdres.
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Po-006 Les cinq dodécaèdre rhomboïdaux semi-réguliers, conjugués à la fois aux octaèdres et aux cubes, inscrits dans le triacontaèdre semi-régulier, conjugué à la fois à l’icosaèdre et au dodécaèdre, avec le triacontaèdre circonscrit.
Plusieurs concavités du modèle supérieur sont remplies pour montrer les faces des polyèdres circonscrits.
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Po-007 Les cinq cubes, conjugués aux octaèdres, inscrits dans le dodécaèdre conjugué à l’icosaèdre, avec le dodécaèdre circonscrit.
Plusieurs concavités du modèle supérieur sont remplies pour montrer les faces des polyèdres circonscrits.
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Po-008 Les cinq octaèdres réguliers, dont les arêtes correspondent aux cercles primitifs, inscrits dans l’icosaèdre, avec l’icosaèdre circonscrit.
Plusieurs concavités du modèle supérieur sont remplies pour montrer les faces des polyèdres circonscrits.
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Po-009 Demi dodécaèdre hémiédrique de puissance zéro. Tous les plans passent par le centre. Tous les plans sont limités par des arêtes rouges. Il n'a pas de plans de symétrie.
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Po-Arc-001 13 polyèdres d'Archimède : tétraèdre tronqué.
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Po-Arc-002 13 polyèdres d'Archimède : cube tronqué.
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Po-Arc-003 13 polyèdres d'Archimède : octaèdre tronqué.
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Po-Arc-004 13 polyèdres d'Archimède : dodécaèdre tronqué.
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Po-Arc-005 13 polyèdres d'Archimède : icosidodécaèdre tronqué.
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Po-Arc-006 13 polyèdres d'Archimède : cuboctaèdre.
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Po-Arc-007 13 polyèdres d'Archimède : cube adouci.