-
Co-Sng-024 Quatre modèles représentant des surfaces développables avec des renseignements sur la construction des modèles et sur les singularités qu'ils représentent.
Cette collection de modèles à été offerte a Gaston Darboux par les éditeurs.
Les modèles sont trop fragiles pour être dépliés et manipulés.
-
Compas de précision Compas de précision de la marque Baraban.
La Maison Baraban–Thomas successeur a été fondée en 1840, par L. Baraban. La production spéciale de la maison consiste dans les instruments de mathématiques et de dessin : compas, pochettes de compas, planches à dessin, règles. tés, équerres, etc. Elle a joint à celte fabrication celle des instruments de géodésie, topographie et marine.
-
Comptomètre N°29606
Modèle B
-
Coucher de soleil Vershik—Kerov—Logan—Shepp Une interface aléatoire (diagramme de Young), séparant le rouge et le jaune et dépeignant une représentation Plancherel-aléatoire du groupe symétrique sur 2 304 lettres, approche la courbe « arctique » limite déterministe de Vershik—Kerov—Logan—Shepp. Ce qui est remarquable est que n’importe quelle interface Plancherel-aléatoire parmi les 3 x 1053 telles interfaces environ ressemblera, vue de loin, a celle-là en particulier. Ce résultat répond à une loi connue sous le nom de loi des grands nombres.
Donné à l'IHP par Dan Betea en 2017 dans le cadre du trimestre de recherche "Combinatorics and interactions" organisé par le Centre Émile Borel.
-
Croquis, vitrine d'une bibliothèque de l'IHP.
-
Cryptographe à réglettes Cryptographe à réglettes inventée par Arthur Hermann, construit d'après le système de Bazeries.
-
Ct-001 Surfaces de courbure constante positive avec un système de lignes de courbure planes selon Enneper. Type cyclique.
-
Ct-002 Surfaces de courbure constante positive avec un système de lignes de courbure planes selon Enneper. Type elliptique.
-
Ct-003 Surface minimale de Catalan.
-
Ct-005 Hélicoϊde droit avec lignes de courbure et courbes asymptotiques.
-
Ct-006 Modèle d'une surface minimale contenant un ensemble de paraboles réelles dont les plans forment un angle constant avec un plan fixe de l'espace.
-
Ct-Cou-001 Série de 3 modèles en carton sur la courbure des surfaces.
Si \( r1 \) et \( r2 \) sont les rayons de courbure principaux d'une surface en un certain point, on peut distinguer le premier cas suivant pour la mesure gaussienne de la courbure :
\( \frac{1}{r_1} \cdot \frac{1}{r_2} >0 \) Les cercles de courbure se trouvent du même côté du plan de contact.
-
Ct-Cou-002 Série de 3 modèles en carton sur la courbure des surfaces.
Si \( r1 \) et \( r2 \) sont les rayons de courbure principaux d'une surface en un certain point, on peut distinguer le deuxième cas suivant pour la mesure gaussienne de la courbure :
\( \frac{1}{r_1} \cdot \frac{1}{r_2} =0 \) L'un des cercles principaux de courbure s'est transformé en une ligne droite.
-
Ct-Cou-003 Série de 3 modèles en carton sur la courbure des surfaces.
Si \( r1 \) et \( r2 \) sont les rayons de courbure principaux d'une surface en un certain point, on peut distinguer le troisième cas suivant pour la mesure gaussienne de la courbure :
\( \frac{1}{r_1} \cdot \frac{1}{r_2} <0 \) Les cercles de courbure se trouvent sur les côtés opposés du plan de contact.
-
Ct-Neg-004 Surface de révolution à courbure moyenne constante, avec lignes géodésiques : caténoïde.
-
Ct-Neg-005 Surface de révolution à courbure totale constante négative (type hyperboloïde) avec lignes géodésiques parallèles et cercles géodésiques.
-
Ct-Neg-006 Surface de révolution à courbure totale constante négative (type conique) avec lignes géodésiques et asymptotiques.
-
Ct-Neg-007 Cette pseudo-sphère a été découverte par Beltrami en 1868. C'est une surface de révolution dont la paramétrisation en coordonnées cylindriques (\(r\), \(\vartheta \), \( z \)) s'écrit :
$$z = cos\,t + ln\,tan\dfrac{t}{2},\,\,\,\, r = sin\,t$$
Sa méridienne, c'est-à-dire la courbe plane qui l'engendre par révolution autour de l'axe vertical, est une tractrice, dite aussi courbe aux tangentes égales, car telle que la longueur de la tangente entre le point de contact et une droite (l'asymptote) soit constante. Cette courbe n'est autre que celle qui a servi de profil à Gustave Eiffel pour dessiner sa tour. La courbure de cette surface de révolution est constante et égale à \( –1 \), ce qui lui vaut son appellation de pseudo-sphère, par analogie avec la sphère également de révolution mais de courbure constante égale à \( 1 \). Elle est localement isométrique au demi-plan de Poincaré qui est le modèle des surfaces à courbure \( –1 \). Les géodésiques, dont quelques-unes sont tracées, satisfont les axiomes de la géométrie hyperbolique. C'est le théorème de Beltrami. Figure également une courbe asymptotique, c'est-à-dire une courbe en chaque point de laquelle le plan osculateur reste tangent à la surface.
Il y a plusieurs surfaces pseudo-sphériques de révolution. On les classe en trois types selon que la méridienne coupe l'axe (type elliptique), admet l'axe pour asymptote (type parabolique), ou reste à une distance minimum strictement positive (type hyperbolique). Il s'agit donc ici d'une surface pseudo-sphérique de type parabolique.
L'allure de trompette bouchée est trompeuse. La surface s'étend à l'infini symétriquement vers le haut et le bas, et a été tronquée par commodité.
(François Apéry : Collection de cartes postales IHP - 2016)
-
Ct-Neg-008 Hélicoïde de Dini. Surface hélicoïdale de courbure constante négative.
-
Ct-Neg-009 Surface de Kuen. Surface de courbure constante négative avec des lignes de courbure planes, version en bois.
-
Ct-Neg-010 Surface de Kuen. Surface de courbure constante négative avec des lignes de courbure planes.
-
Ct-Neg-011 Cette pseudo-sphère a été découverte par Beltrami en 1868. C'est une surface de révolution dont la paramétrisation en coordonnées cylindriques (\(r\), \(\vartheta \), \( z \)) s'écrit :
$$z = cos\,t + ln\,tan\dfrac{t}{2},\,\,\,\, r = sin\,t$$
Sa méridienne, c'est-à-dire la courbe plane qui l'engendre par révolution autour de l'axe vertical, est une tractrice, dite aussi courbe aux tangentes égales, car telle que la longueur de la tangente entre le point de contact et une droite (l'asymptote) soit constante. Cette courbe n'est autre que celle qui a servi de profil à Gustave Eiffel pour dessiner sa tour. La courbure de cette surface de révolution est constante et égale à \( –1 \), ce qui lui vaut son appellation de pseudo-sphère, par analogie avec la sphère également de révolution mais de courbure constante égale à \( 1 \). Elle est localement isométrique au demi-plan de Poincaré qui est le modèle des surfaces à courbure \( –1 \). Les géodésiques, dont quelques-unes sont tracées, satisfont les axiomes de la géométrie hyperbolique. C'est le théorème de Beltrami. Figure également une courbe asymptotique, c'est-à-dire une courbe en chaque point de laquelle le plan osculateur reste tangent à la surface.
Il y a plusieurs surfaces pseudo-sphériques de révolution. On les classe en trois types selon que la méridienne coupe l'axe (type elliptique), admet l'axe pour asymptote (type parabolique), ou reste à une distance minimum strictement positive (type hyperbolique). Il s'agit donc ici d'une surface pseudo-sphérique de type parabolique.
Ce modèle appartient à la collection Brill et fut réalisé par Bacharach à Münich en 1877. L'allure de trompette bouchée est trompeuse. La surface s'étend à l'infini symétriquement vers le haut et le bas, et a été tronquée par commodité.
(François Apéry : Collection de cartes postales IHP - 2016)
-
Ct-Neg-012 Hélicoïde de Dini. Surface hélicoïdale de courbure constante négative.
-
Ct-Neg-013 Surface de révolution à courbure totale constante négative (type conique) version en bois sans lignes géodésiques et asymptotiques.
-
Ct-Neg-014 Surface de révolution à courbure totale constante négative (type hyperboloïde) version en bois sans lignes géodésiques parallèles et cercles géodésiques.
-
Ct-Neg-015 Plan hyperbolique symétrique crocheté.
Donné par Daina Taimina suite à sa visite de la bibliothèque en 2011.
-
Ct-Neg-016 Hélicoïde.
-
Ct-Neg-017 Deux surfaces de révolution à courbure totale constante négative en tôle de laiton flexible, à l'aide desquelles on peut expliquer le pliage d'une telle surface sur une autre et son déplacement dessus, et plus généralement la notion de "géométrie" sur ces surfaces.
S'appliquent sur les modèles numéros 229 (II, 5), 231 (V, 4) et 232 (VIII, 1).
Les modèles numéros 229 (II, 5), 231 (V, 4) et 232 (VIII, 1) ont la même courbure. Pour montrer la possibilité de les dérouler l'un sur l'autre et surtout de les déplacer sur eux-mêmes, ainsi que pour montrer les étranges relations entre la géométrie non euclidienne et la géométrie de Lobatschewsky, on les a ajusté sur ces deux bandes de laiton mince. Si l'on découpe dans l'une d'entre elles un morceau triangulaire dont les côtés sont des lignes géodésiques (par exemple celles de la surface 229 (II, 5)), l'observation visuelle nous apprend déjà que la somme des angles dans un tel triangle est inférieure à \(2R\).
-
Ct-Pos-001 Surface de révolution de courbure constante positive avec lignes géodésiques. Application sur la sphère, la méridienne ne rencontrant pas l'axe.
-
Ct-Pos-002 Surface hélicoïdale de courbure constante positive.
-
Ct-Pos-003 Surface de révolution de courbure constante positive, version en bois sans lignes géodésiques. Application sur la sphère, la méridienne rencontre l'axe.
-
Ct-Pos-004 Surface de révolution de courbure constante positive avec lignes géodésiques. Application sur la sphère, la méridienne rencontre l'axe.
-
Ct-Pos-005 Surface hélicoïdale de courbure constante positive.
-
Ct-Pos-006 Surface de révolution de courbure constante positive avec lignes géodésiques. Application sur la sphère, la méridienne ne rencontrant pas l'axe.
-
Ct-Pos-007 Demi-sphère creuse en tôle de laiton.
Les surfaces à courbure constante, conçues comme une fine peau, peuvent coulisser sur elles-mêmes et se dérouler les unes sur les autres. On peut en faire l'expérience avec les bandes de laiton souples suivantes, ajustées sur ces surfaces.
S'applique sur les modèles numéros 220 et 221 (V, 2a et b).
-
Ct-Pos-009 Bande de surface à courbure positive constante en tôle de laiton. Zone sphérique correspondant à un angle centrifuge de presque 90°.
Les surfaces à courbure constante, conçues comme une fine peau, peuvent coulisser sur elles-mêmes et se dérouler les unes sur les autres. On peut en faire l'expérience avec les bandes de laiton souples suivantes, ajustées sur ces surfaces.
S'applique sur le modèle numéro 222 (V, 2c).
-
Ct-Reg-001 Hélicoϊde engendré par le développement d'une hélice.
-
Cu-001 Le pentaèdre de Sylvester de la surface diagonale de Clebsch.
-
Cu-002 Surface hessienne du modèle numéro 50 (VII, 7).
-
Cu-003 Partie étoilée du modèle numéro 64 (VII, 24a) pour un pentaèdre composé du plan infiniment éloigné et d'un tétraèdre régulier.
-
Cu-Cne-001 Cône de genre un (de sixième classe), constitué d'une seule enveloppe non appariée en position carrée.
-
Cu-Cne-002 Cône de genre zéro à double arête (de quatrième classe), qui se présente comme une double arête isolée.
-
Cu-Cne-003 Cône de genre un (de sixième classe), constitué d'une seule enveloppe non appariée avec trois plans de retournement passant par une droite.
-
Cu-Cne-004 Cône de genre zéro avec arête de retour (de troisième classe).
-
Cu-Cne-005 Cône de genre un (de sixième classe), constitué d'une enveloppe appariée et d'une enveloppe non appariée.
-
Cu-Cne-006 Cône de genre zéro à double arête (de quatrième classe), avec auto-intersection.
-
Cu-Cne-007 Cône de genre un (de sixième classe), constitué d'une seule enveloppe non appariée en position triangulaire.
-
Cu-Csi-001 Série des 45 types topologiques de surfaces cubiques projectives réelles (non réduites à un cône) à points doubles isolés.
Ordonnée selon la classification de Ludwig Schläfli en 1863, et modernisée par Horst Knörrer et Thomas Miller en 1987.
Numéro dans la série : KM1
-
Cu-Csi-002 Série des 45 types topologiques de surfaces cubiques projectives réelles (non réduites à un cône) à points doubles isolés.
Ordonnée selon la classification de Ludwig Schläfli en 1863, et modernisée par Horst Knörrer et Thomas Miller en 1987.
Numéro dans la série : KM2
-
Cu-Csi-003 Série des 45 types topologiques de surfaces cubiques projectives réelles (non réduites à un cône) à points doubles isolés.
Ordonnée selon la classification de Ludwig Schläfli en 1863, et modernisée par Horst Knörrer et Thomas Miller en 1987.
Numéro dans la série : KM3
-
Cu-Csi-004 Série des 45 types topologiques de surfaces cubiques projectives réelles (non réduites à un cône) à points doubles isolés.
Ordonnée selon la classification de Ludwig Schläfli en 1863, et modernisée par Horst Knörrer et Thomas Miller en 1987.
Numéro dans la série : KM4
-
Cu-Csi-005 Série des 45 types topologiques de surfaces cubiques projectives réelles (non réduites à un cône) à points doubles isolés.
Ordonnée selon la classification de Ludwig Schläfli en 1863, et modernisée par Horst Knörrer et Thomas Miller en 1987.
Numéro dans la série : KM5